Alec Séror avec SHEKHINA: May Editions
C’est le chant immortel sur la mère qui meurt. C’est avec sa disparition un trou qui se creuse au nombril. Ce sont avec son absence les derniers lambeaux de la divinité – Shekhina en hébreu – qui se diluent dans de puériles larmes. Ce sont avec la douleur les mots qui ne riment à rien.
C’est un récit qui ne cesse de se décliner et c’est le récit de cette déclinaison chez Albert Camus et Albert Cohen, Roman Gary et Simone de Beauvoir.